Résumés
Publié le 31/03/2024
Les Parisiens ne sont pas leaders pour rien. Face à des Montpelliérains en danger, le Stade Français n’a certes pas brillé mais a assuré l’essentiel en s’imposant à l’issue d’un match cadenassé 10-12. Lors du Multiplex plus de jeu en revanche, à commencer par Perpignan signant une troisième victoire de rang, avec la manière, face au Castres Olympique. Veredamu et Ruiz s’illustrant en inscrivant 4 des 7 essais marqués. Même physionomie à La Rochelle où le champion d’Europe a dominé le champion de PROD2 sur le score de 40-21 dans le sillage d’un Berjon excellent, auteur d’un doublé.
Toulon congèle la marmite d'Anoeta
Lyon a bataillé sous la pluie pour vaincre l’UBB tandis que le Racing 92 a ponctué sa dernière de l’année à la Paris La Défense Arena par un succès contre Clermont. Le samedi a été marqué par le retour tant attendu de Romain Ntamack avec le Stade Toulousain. Retour célébré par une victoire in extremis 31-29 contre des Palois portés par un duo Attisogbe-Gailleton étincelants. Enfin, l’apothéose de cette journée a eu lieu dans le chaudron d’Anoeta où le RCT a fait une démonstration de jeu pour s'imposer contre l'Aviron Bayonnais. Portés par un pack conquérant et un Serin flamboyant, les Varois ont confirmé leur excellent état de forme et se sont ancrés dans le Top6.
A vos marques, prêts ? Partez ! Dès le coup d’envoi les Racingmen ont filé à toute vitesse vers la ligne d’en but auvergnate. Une folle action qui a pris 27 secondes aux Franciliens pour signer l’essai le plus rapide de la saison. Course tranchante, bon relais de Fickou, passe acrobatique de Le Garrec et le sérial marqueur Arundell a ponctué l’action. Avec un tel démarrage, les joueurs du Racing 92 ont ensuite assuré l’essentiel pour s’imposer face à l’ASM dans leur Paris La Défense Arena qu’ils ne retrouveront que le 7 septembre prochain.
« Il y a avait beaucoup d’émotions, lors de mon arrivée au stade notamment. J’ai dû me contenir pour rester concentré, c’était difficile mais j’attendais ça depuis tellement de temps… J’avais l’impression d’avoir quitté le Stade Toulousains depuis des années donc j’étais impatient. J’ai travaillé dur pour revenir et même si j’étais un peu occis ce soir j’étais heureux de retrouver le TOP14 et mes coéquipiers »
Chaque délocalisation fait grandir un peu plus la magie des ces matchs en Espagne. Sur la pelouse d’Anoeta, à San Sebastian, Basques et Varois se sont affrontés dans une marmite en véritable ébullition. L’avant match à été festif, la Pena Baiona magique et le choc explosif !